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cuire-à-couvert
26 avril 2015

le besoin d’être et de dominer

 

Dans ces temps troubles, mes chers amis, force est de constater objectivement les grandes crises sociales qui traverse notre monde sylliconvalléetique.
Autre le fait d'un paradoxe du « tout le monde veut se ressembler », réfléchissons plutôt aux techniques forcées de nos grands Etats qu'il veulent étendre leurs hégémonie sur tout le tiers monde.( tier monde car …. inférieurs à eux)

Des doctrines moyenâgeuses de religions aux prouesses technologiques aliénant l'homme peuvent être prisent en exemple par une foultitude d'exemple. Les croisades, les différentes invasions eurasiennes, prussienne, napoléoniennes , la triade, le III reich , la révolution verte, les guerres du Vietnam et du golf, et maintenant les différentes revendications immondes des belligérants souhaitant revendiquer leurs idées, leurs valeurs, le concepts régissant leur visions du monde et de la vie. Soyons honnête, cette énumération est clairement non exhaustive.

 

Seulement ces exemples types ( parmi tant bien d'autres) démontre le besoin consistant de l'homme de diffuser ces propres idées économiques, éthiques, culturelles et religieuses de gré ou de force.

De ces actes, nous avons eux droit de tout temps à des explications rationnelles d’éminents chercheurs et intellectuels. Ces derniers cherchaient à trouver la réponse de ces besoins « humains ».

 

le cas « du prince » de machiavel explique en quoi le fonctionnaire de la force souhaite garder son pouvoir et comment le répandre par des manipulations diverses et variés. Nous retiendrons juste que pour mieux régner, mieux vaut être craint qu'être sympa et que la cruauté prédomine toujours la clémence.

Autre cas, celui de la « servitude volontaire » de la Boetie . c'est un discours contre l’absolutisme de l'élite du XVI ième siècle. Pour lui, le gouverneur est inapte à gouverner. Et il ne gouverne que gâce à l'habitude que le peuple à intérioriser l' »obéissance ». son idée générale est : faire participer activement les dominés dans leurs domination.

 

Tout cela repose sur l'identité. Celle d'un homme ou d'un groupe fantasmant une propagation massive de leurs formalisme sur celles des autres.

Et cela se passe toujours de la même façon. Cela se passe encore sous nos yeux.
Pensons-y. Le passé n'est jamais bien loin. Mais où se trouve l'évolution ? Certainement demain !

 

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